L'histoire des victimes des parcelles de terrain des membres du DPRD dans la province de Java central

HISTOIRE DE VICTIMES DE TERRAINS ACCIDENTÉS PAR DES MEMBRES DU DPRD DANS LA RÉGENCE DE TEGAL, PROVINCE DE JAVA CENTRALE

L'histoire commence par l'acquisition, par des membres du DPRD de la régence de Tegal (2024-2029), de terres familiales de plusieurs milliers de mètres carrés (m²) appartenant aux habitants du village de Panggung, district de Tegal Timur, ville de Tegal, province de Java central. Le certificat foncier était un SHM (certificat de propriété).

Le prix d'achat du terrain était de 900 millions de roupies, payable en deux versements : 500 millions de roupies pour la première et 400 millions de roupies pour la seconde.

Le terrain est situé dans le village de Mejasem Timur, district de Kramat, régence de Tegal, province de Java central. Vers les années 2020, après accord, le vendeur du terrain a été invité par des membres du DPRD de la régence de Tegal à se présenter devant un notaire de la régence de Tegal, dans le centre de Java, afin de conclure un contrat de vente et d'achat (PPJB) pour la rizière et de verser simultanément la première tranche de 500 millions de roupies.

Les 400 millions de roupies restantes seront versées un an plus tard, et le certificat sera remis simultanément à l'acheteur, le membre du DPRD.

En 2021, les terres payées en plusieurs fois ont été remblayées et divisées en dizaines de parcelles, dont les prix variaient entre 80 et 100 millions de roupies, avec la promesse d'obtenir des SHM pour les acheteurs.

Les parcelles ont été vendues par des particuliers qui savaient qu'ils pouvaient acheter des terres à bas prix et à qui l'on avait promis des SHM.

Le membre du DPRD a également perçu des milliards de dollars grâce au produit de la vente des parcelles achetées en plusieurs fois. 500 millions.

Les milliards de bénéfices réalisés ont réjoui le membre du DPRD. Finalement, les bénéfices n'ont pas suffi à couvrir le coût du remboursement des 400 millions de roupies manquantes pour les terres et à honorer les promesses généreuses du SHM aux acheteurs.

Mais ces fonds ont servi à acheter des rizières dans d'autres villages des kabupaten de Tegal, de la ville de Tegal et de Brebes, dans la province de Java central, pour les réaménager en parcelles et en logements.

De même, les rizières achetées n'ont pas été remboursées immédiatement, mais par versements échelonnés et vendues à des résidents ordinaires.

Après plusieurs années, le propriétaire du terrain acheté par le membre du DPRD et l'acheteur du terrain ont également remis en question la certitude.

Quand le terrain sera-t-il remboursé ? Et quand l'acheteur du terrain recevra-t-il le SHM, comme promis par le membre du DPRD ?

Le membre du DPRD était finalement désorienté, car des sommes importantes avaient été perçues pour le paiement d'autres échéances d'achat de terres et il était également poursuivi par les acheteurs de parcelles.

Le numéro de téléphone du membre du DPRD était difficile à joindre, il était également difficile de le rencontrer au bureau du DPRD de la régence, à son bureau du parti et à son domicile, et il se cachait toujours du vendeur et de l'acheteur de la parcelle.

De telles affaires foncières ne sont pas uniquement menées par les membres du DPRD de la régence de Tegal, les chefs de village, les organes villageois et autres entrepreneurs, qui se livrent à des activités similaires à celles pratiquées dans le commerce des parcelles, notamment dans le secteur du logement.

Il s'agit d'acheter des terres auprès de vendeurs, payées en plusieurs fois, le reste étant intégralement payé après division en parcelles et vente, puis remboursé.

Or, selon les lois, réglementations et politiques du chef de la régence de Tegal (BPN), province de Java central, les terrains sont très difficiles à transformer en SHM. Même s'ils le peuvent, ils doivent se conformer à des règles très complexes, ce qui prend des années et entraîne des coûts élevés.

C'est pourquoi de nombreux acheteurs et vendeurs de terrains contournent désormais la vente de terrains en utilisant un modèle promotionnel consistant à obtenir un acte de vente et d'achat (AJB) sans promettre de SHM.

Le vendeur tente en effet de tromper les citoyens ordinaires et d'éviter d'être poursuivi par les résidents qui exigent des SHM.

Notre équipe peut écrire ainsi, car nous recevons souvent des plaintes d'acheteurs de terrains et c'est elle qui fait pression pour que les résidents n'achètent pas de terrains.

Chers lecteurs, soyez prudents si vous envisagez d'acheter des terrains, car la plupart des vendeurs de terrains sont des mafieux fonciers dans les villages.

Si vous êtes victime d'une mafia foncière, signalez-le à la police et emprisonnez le vendeur au moins une fois. N'espérez pas récupérer votre argent.

Cela aura un effet dissuasif sur la mafia foncière. Si vous espérez récupérer votre argent, préparez-vous à dépenser beaucoup d'argent pour résoudre votre litige foncier.

Si vous faites appel à des avocats peu onéreux qui vous demandent de l'aide pour résoudre votre litige foncier en échange d'une indemnisation de 5 ou 10 millions de roupies, notre équipe vous garantit que votre problème foncier ne sera pas résolu, car courir après le vendeur, c'est comme courir après une souris qui court et se cache sans cesse.